Le tas monte petit à petit. Les cocottes auront à manger cet hiver ! En attendant les coqs de dehors profitent de l'aubaine...
La vis san fin "aspire" le grain et le "recrache" dans la cellule à grains. Je vous passe le bruit d'enfer et... la poussière... mais vous ratez l'odeur sublime du blé fraîchement battu... une odeur énivrante qui mériterait de trouver sa place dans un flacon de verre, mêlé aux effluves de la menthe des prés qui pousse parmi la paille... Avis aux créateurs de parfum : il y a quelque chose à faire !